20h30 Concert
BAMBARA GROOVE
Bambara Groove puise son essence dans la musique Gnawa.
Composée de musiciens aux influences diverses, cette nouvelle tribu explosive fait renaître l’authenticité de la tradition mêlant des sonorités modernes aux couleurs métissées.
Formé à Marseille, ce groupe aux mille visages nous entraîne du Sahara au pourtour méditerranéen égrainant ses perles de transe aux quatre coins du monde.
Bambara Groove s’est formé fin 2013, au fil des rencontres musicales dans les clubs Marseillais, et l’alchimie a très vite opéré entre ces musiciens…
Composition du groupe :
Ali Sahraoui : Chant, Gumbri
Kader Denednia : Guitare, Chant
Anass Zine : Guitare, Chant
David Timsit : Claviers, Piano
Marek Eichler : Basse
Messaoud Boutemeur : Batterie
22h Projection
Chronique d’une cour de récré
de Brahim Fritah
France/Maroc-2012-1 h 25 mn
Les années 1980, en banlieue parisienne : Brahim, dix ans, habite avec sa famille dans l’usine de construction de grues où son père, d’origine marocaine, est gardien. Une enfance joyeuse, entre ses copains à l’école, sa passion pour les films à la télé, et la cour de l’usine, avec la vieille grue, théâtre de ses jeux et de ses rêves. Pourtant, ce petit monde se trouve bouleversé le jour où s’annonce la fermeture de l’usine, et le déménagement de la famille…
Pique-niques bienvenus. Buvette à disposition sur place. Accès bus : partenariat RTM, lignes 83 et 583 (Fluobus) en direction du Vieux-Port et du Prado.
« Les cinémas arabes ont rarement été appréhendés autrement que comme des miroirs (souvent) équivoques de réalités socio-politiques régionales. Au fondement de ce préjugé, le naturalisme dominant dans la production cinématographique du monde arabe.
A travers 1958, de Ghassan Salhab, et La clôture (Haçla), de Tariq Teguia, il s’agira d’interroger deux regards de cinéastes attentifs au monde qui les entoure tout en étant habités par une ambition formelle jamais reniée.
Cinéastes de la rupture, de l’hybridation des genres, antinaturalistes par excellence, Ghassan Salhab et Tariq Teguia sont dans des logiques de résistance :
A première vue, la poétique de 1958 et la géo-politique de La clôture semblent inconciliables ne serait-ce que sur le plan thématique. Une attention particulière à la pensée du cinéma qui travaille ces deux films nous permettra de mettre en lumière ce que ces deux cinéastes ont en partage : une modernité radicale.
Ikbal Zalila
Ikbal Zalila est docteur en Etudes cinématographiques, enseignant chercheur à l’université de La Manouba (Tunisie) en esthétique du cinéma et analyse de films. Il est par ailleurs critique de cinéma. Il a été programmateur pour les journées cinématographiques de Carthage en 2008 et 2010. »
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Une nuit, après un raid aérien dans la région,le mâle meurt. Rita, la femelle, ne peut pas vivre seule et se laisse doucement mourir au grand désespoir de Ziad. Yacine doit de toute urgence lui trouver un nouveau compagnon. Mais le seul zoo qui pourrait l’aider se trouve à Tel-Aviv…
]]>Dans ce court métrage, Haroun se penche sur le sort des migrants en Afrique. C’est l’histoire de Moussa, récemment revenu dans son village après un voyage infructueux dans le désert pour rejoindre la cohorte des candidats à l’émigration. Il se retrouve confronté aux hommes qui lui ont prêté l’argent du voyage.