2èmes Rencontres Internationales des Cinémas Arabes Festival à Marseille du 08 au 13 avril 2014 2014-07-15T22:25:09Z http://archives-2014.lesrencontresdaflam.fr/feed/atom/ WordPress editeur <![CDATA[Les Quotidiens des Rencontres : revivez l’evenement]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1598 2014-07-15T22:25:09Z 2014-07-15T22:23:39Z Un Quotidien dans lequel vous retrouverez des analyses, des zoom et toutes les informations des Rencontres 2014. Ces journaux furent préparés par des lycéens de la ville de Marseille.

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editeur <![CDATA[Aflam au théâtre Silvain mardi 15 juillet]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1583 2014-07-14T07:47:19Z 2014-07-14T07:47:19Z Caravane des cinémas arabes en Région, Aflam présente Chronique d’une cour de récréé
de Brahim Fritah précédé d’un concert de musique Gnawa
le mardi 15 juillet au Théâtre Silvain – Marseille (Soirée en plein air – Entrée libre)

20h30 Concert
BAMBARA GROOVE

Bambara Groove puise son essence dans la musique Gnawa.
Composée de musiciens aux influences diverses, cette nouvelle tribu explosive fait renaître l’authenticité de la tradition mêlant des sonorités modernes aux couleurs métissées.
Formé à Marseille, ce groupe aux mille visages nous entraîne du Sahara au pourtour méditerranéen égrainant ses perles de transe aux quatre coins du monde.
Bambara Groove s’est formé fin 2013, au fil des rencontres musicales dans les clubs Marseillais, et l’alchimie a très vite opéré entre ces musiciens…

Composition du groupe :
Ali Sahraoui : Chant, Gumbri
Kader Denednia : Guitare, Chant
Anass Zine : Guitare, Chant
David Timsit : Claviers, Piano
Marek Eichler : Basse
Messaoud Boutemeur : Batterie

22h Projection
Chronique d’une cour de récré
de Brahim Fritah
France/Maroc-2012-1 h 25 mn

Les années 1980, en banlieue parisienne : Brahim, dix ans, habite avec sa famille dans l’usine de construction de grues où son père, d’origine marocaine, est gardien. Une enfance joyeuse, entre ses copains à l’école, sa passion pour les films à la télé, et la cour de l’usine, avec la vieille grue, théâtre de ses jeux et de ses rêves. Pourtant, ce petit monde se trouve bouleversé le jour où s’annonce la fermeture de l’usine, et le déménagement de la famille…
Pique-niques bienvenus. Buvette à disposition sur place. Accès bus : partenariat RTM, lignes 83 et 583 (Fluobus) en direction du Vieux-Port et du Prado.

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editeur <![CDATA[Un Critique, deux Regards, mardi 8 à 17h : La clôture (Haçla), de Tariq Teguia – 1958, de Ghassan Salhab]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1562 2014-07-14T07:54:18Z 2014-04-08T10:04:13Z Rendez-vous mardi 8 avril à 17h à la Maison de le Région pour les sélections d’Ikbal Zalila dans la section « Un critique, deux regards » (entrée libre, dans la limite des places disponibles)

  • La clôture (Haçla), de Tariq Teguia
  • 1958, de Ghassan Salhab

« Les cinémas arabes ont rarement été appréhendés autrement que comme des miroirs (souvent) équivoques de réalités socio-politiques régionales. Au fondement de ce préjugé, le naturalisme dominant dans la production cinématographique du monde arabe.

A travers 1958, de Ghassan Salhab, et La clôture (Haçla), de Tariq Teguia, il s’agira d’interroger deux regards de cinéastes attentifs au monde qui les entoure tout en étant habités par une ambition formelle jamais reniée.

Cinéastes de la rupture, de l’hybridation des genres, antinaturalistes par excellence, Ghassan Salhab et Tariq Teguia sont dans des logiques de résistance :

  • Résistance esthétique contre le formatage ambiant; auquel les cinéastes arabes auront largement contribué, aidés en cela par une critique bienveillante.
  • Résistance d’ordre politique en osant un cinéma qui prend le contrepied des attentes aussi bien des publics nationaux largement conditionnés par les «drames télévisuels» que des publics de festivals friands d’exotisme.

A première vue, la poétique de 1958 et la géo-politique de La clôture semblent inconciliables ne serait-ce que sur le plan thématique. Une attention particulière à la pensée du cinéma qui travaille ces deux films nous permettra de mettre en lumière ce que ces deux cinéastes ont en partage : une modernité radicale.

Ikbal Zalila

Ikbal Zalila est docteur en Etudes cinématographiques, enseignant chercheur à l’université de La Manouba (Tunisie) en esthétique du cinéma et analyse de films. Il est par ailleurs critique de cinéma. Il a été programmateur pour les journées cinématographiques de Carthage en 2008 et 2010. »

Le programme complet d’un critique, deux regards

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aflamAdmin <![CDATA[Vidéo : explications sur les matinales]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1501 2014-07-14T07:50:43Z 2014-04-04T16:34:16Z Le directeur artistique d’Aflam Tahar Chikhaoui nous explique le concept des Matinales.  Les Matinales sont des tables rondes organisées au Mucem du mercredi au samedi. Chacune porte sur un argument d’actualité. Un intervenant choisi pour son expérience ouvre les débats auxquels participent des cinéastes, des critiques et des professionnels du cinéma.

 


Les Matinales

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editeur <![CDATA[Girafada]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1169 2014-04-10T15:34:52Z 2014-03-31T23:25:30Z Yacine est vétérinaire dans le dernier zoo de Palestine. Il vit seul avec son fils de 10ans, Ziad. Celui-ci a un lien particulier avec les deux girafes du zoo, il semble être le seul à pouvoir communiquer avec elles.

Une nuit, après un raid aérien dans la région,le mâle meurt. Rita, la femelle, ne peut pas vivre seule et se laisse doucement mourir au grand désespoir de Ziad. Yacine doit de toute urgence lui trouver un nouveau compagnon. Mais le seul zoo qui pourrait l’aider se trouve à Tel-Aviv…

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editeur <![CDATA[Abouna]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1214 2014-04-04T23:16:36Z 2014-03-31T23:25:29Z Deux frères, Amine et Tahir, se réveillent un matin pour découvrir que leur père, Abouna, est parti sans mot dire juste le jour où il devait arbitrer un match de foot entre les enfants du quartier. Ils décident de se mettre à sa recherche et font l’école buissonnière. Commence alors une errance à travers N’Djamena, d a n s les endroits où leur père avait l’habitude de se rendre. En vain. Un soir, dans la pénombre d’une salle de cinéma, ils croient le voir sur l’écran et se mettent en tête de voler la bobine…

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editeur <![CDATA[Goodbye Morocco]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1166 2014-04-04T23:17:50Z 2014-03-31T19:25:30Z Dounia, divorcée, un enfant, vit avec Dimitri, un architecte serbe, à Tanger. Le couple dirige un chantier immobilier où le terrassement met à jour des tombes chrétiennes du IVème siècle, ornées de fresques. Dounia se lance alors dans un trafic lucratif, espérant gagner très vite de quoi quitter le Maroc avec son fils et son amant… ]]> editeur <![CDATA[Grigris]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1220 2014-03-31T21:18:21Z 2014-03-30T23:25:30Z Grigris, 25 ans, se rêve en danseur alors que sa jambe paralysée devrait l’exclure de tout. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauver, il décide de travailler pour des trafiquants d’essence… ]]> editeur <![CDATA[Sleepless nights]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1217 2014-04-01T19:06:22Z 2014-03-30T23:25:30Z Ce film fait se rencontrer deux personnes irrémédiablement marquées par la guerre du Liban : l’ancien responsable des services secrets de la milice chrétienne des «Forces Libanaises», Assaad Shaftari, en quête de rédemption, et Maryam Saiidi, qui recherche désespérément son fils communiste Maher, disparu il y a 30 ans au cours d’une opération militaire planifiée par la milice de Assaad. Leur rencontre pourrait-elle apporter de l’espoir et fermer les plaies d’une guerre civile vieille de 38 ans ?

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editeur <![CDATA[Kalala + Expectations]]> http://www.lesrencontresdaflam.fr/?p=1205 2014-03-31T22:51:29Z 2014-03-30T23:25:30Z
  • Kalala
« Sous ce nom congolais, Kalala, se cache Hissein Djibrine, mon meilleur ami, mon plus proche collaborateur. Il est mort le 22 juillet 2003 à N’Djaména, du sida. Depuis sa disparition, il me semble qu’une partie de moi s’en est allée. J’ai conçu ce film non seulement comme un journal intime filmé, mais aussi comme une enquête sur la mémoire, le cinéma, la maladie. » Mahamat-Saleh Haroun.
  • Expectations

Dans ce court métrage, Haroun se penche sur le sort des migrants en Afrique. C’est l’histoire de Moussa, récemment revenu dans son village après un voyage infructueux dans le désert pour rejoindre la cohorte des candidats à l’émigration. Il se retrouve confronté aux hommes qui lui ont prêté l’argent du voyage.

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